Logo 2

Mondialisation et interdépendance




Voir croquis : Les inégalités de développement dans le monde


Plan :


 

Mondialisation : phénomène marqué par les explosions des flux mondiaux créant des liens entre les différents pays, différents hommes et créant ainsi une interdépendance et une certaine uniformisation.


 

I. Les flux dans le monde

A. Une explosion

1) La libéralisation

- Domaine des marchandises.
- Depuis 1945 : la théorie du libre échange s’est imposée.
- GATT : 1947 puis l’OMC : 1994.
- Disparaitre les barrières douanière, recul du protectionnisme.
- disparition des économies communistes. Chute des économies fermées sur elles mêmes. La Chine s’est ouverte sur le monde.
- Libéralisation des flux de capitaux : période de Reagan, Thatcher.
Libéralisation encouragée par le FMI. Cependant elle est accusée d’être responsable de la crise de 2008. Essai de réguler (régulation financière) les flux.
 

2) Une révolution dans le domaine des transports

- Transports de plus en plus rapides et sûrs.
-navigation maritime : conteneur. Containerisation : révolution.
Multimodalité, pluralité
Accélérer charge/décharge du navire
- Gain de place, les marchandises sont mieux protégées.
Réduit les couts de transport.
- navires spécialisés pour le gaz, le pétrole.
Le roulier : roll on / roll off : chargement des poids lourd.
- L’aviation : marchandises moins volumineuses, cartes mère, haute technologie, produits périssables pour gagner du temps.

Hommes et marchandises circulent plus rapidement.
 

3) la révolution des communications

- internet
- facilite les échanges des capitaux.
Réaction mondiale, émotion, solidarité pour une catastrophe naturelle par exemple.
 

B. Les flux de population

1) Les facteurs de migration

a) Les raisons économiques

- les raisons professionnelles : main d’oeuvre qualifié : brain drain (migration de cerveau). Main d’oeuvre non qualifié
- En 2009 : plus de 200 millions de migrants pour des raisons économiques (migrants illégaux sont 30 millions).
- Distinction entre migrants légaux et illégaux.
Push factor : forcé de partir et pull factor : attiré par un espoir de vie meilleur dans un autre pays.

b) Politiques

- dictature : échapper aux pays autoritaires.
- fuir aux guerres : phénomène refugié (politique ect ...)
- 2009 : 15 millions de réfugiés.

c) Les migrations de loisirs

- progrès des transports
- augmentation des temps libres
- augmentation du niveau de vie
- 2009 : touristes 880 millions sur une année
Représente 10 % des flux de personnes

d) D’autres raisons

- réfugiés climatiques : dégradation de leur milieu. Monté du niveau de la mer (Bangladesh)
- Etudiants : Erasmus
- Migrations de retraités
- raisons médicales, religieuse : le pèlerinage à la Mecque représente plusieurs millions de personnes.
 

2) La géographie des migrations

a) Les pays de départs

- raisons économiques : pays du sud vers les pays du nord mais également du nord vers le nord.
PMA : pays les moins avancés.
PECO : Pays de l’Europe centrale et orientale (éclatement de l’URSS)
- raisons politiques : pays en guerre. Zone de conflit en Afrique notamment.
- migrations touristiques : pays riches. On constate l’essor des pays émergents comme l’Inde, la Chine et le Brésil.
b) Pays d’accueil

- pays développés, migrations économiques.
Mais certains pays sont du Sud. Pays pétroliers.
Afrique du Sud, Brésil, Taïwan.
- tourisme : pays riches. Phénomène pays du sud : Chine, Inde
- politique

c) Les routes des migrations

- détroit de Gibraltar, du Bosphore (Turquie)
- passage avec la Sicile, les îles (Maltes, les Canaries)
- Passage et blocage : Etats-Unis et Mexique, trafic de population. Frontière France/Angleterre.
L’Angleterre ne fait pas parti de l’espace Schengen.

3) Les effets

a) Pour les pays d’accueil

- effets positifs :

économique (bon marché).
apport démographique.
créer des liens avec le pays d’origine. Eventuellement une coopération.
diversité culturelle.
main d’oeuvre accepte ce que personne ne veut faire.


- effets négatifs :

monté de réactions xénophobes (monté des extrêmes) en périodes de crise.
problème d’intégration, développement de la misère.
entrainer des tensions avec le pays d’origine.
peut tirer les salaires vers le bas.

b) Pour les pays de départ

- avantages : - les migrants rapatrient ce qu’il gagne pour le pays de départ. Flux de capitaux plus important que les aides de développement. On estime à 200 milliards de dollars le transfert des migrants vers leurs pays d’origine (Inde, Egypte, Philippines).
- soulage le pays de départ des personnes qui n’arrivent pas à trouver du travail.
- inconvénients : les plus qualifiés : personnels de santé, infirmiers, pénurie pour les pays de départs dans certaines professions.

c) Immigration touristique

- pays de départ : pas d’importance.
- Pays d’accueil : peu être un atout pour la construction d’infrastructures, débouché pour les produits locaux.

Mais cela peut être aussi un inconvénient :
- parti du tourisme financé par des organisations du voyage et donc pas par le pays.
- pollution des eaux, de la nature.
- Marbellisation (béton).
- concurrence pour les usages des terres agricoles pour l’eau notamment.
- Emploi saisonnier.
 

C. Les autres flux

1) Les flux de bien et de service

a) les flux de marchandises

- Ces flux ont explosé, pendant un temps surtout pour les matières premières comme le pétrole.
Ces flux représentent 10 % du commerce mondial.
- Principalement les produits manufacturés qui représentent les ¾ des échanges mondiaux en valeur.
- Les services représentent 15 % (tourisme, circulation d’information, livre, jeux vidéo, logiciel).
- Principalement par les voies maritimes, mais aussi par oléoduc, gazoduc, par avion ...
- Avec la crise 2008-2009 : contraction du commerce.

b) Les services

- Les services sont en train de se délocaliser. Les centres d’appel en Inde et au Maghreb pour le France.
- Compatibilité des entreprises.
- Logiciel conçus en Inde. En 5 ans (200-2005), 300 centres d’appels ont été créés en Inde.
- IBM : 45 000 postes transférés en Inde en 2004.
- géographie des flux : pays du sud matières premières ; économie de rente. Risque très dépendant.
Produit manufacturé faible en valeur ajoutée (textile, jouet)
Pour le pays du nord : produit en forte valeur ajoutée.



2) Les flux de capitaux

- Les flux rapatriés par la main d’oeuvre immigré.
- aide publique au développement
- IDE : investissement direct à l’étranger.
- illégaux : blanchiment d’argent
- Ces flux ont explosé développement de ces flux de capitaux.
- les IDE : moins de contrôle sur les capitaux.
En 1970 : IDE représentaient 14 milliards de dollars.
En 2007 : IDE représentaient 2 200 milliards de dollars.
En 2010 : les IDE représentent 1 100 milliards de dollars.
- Géographie de ces flux : en 1970 99,6 % venaient des pays développés. Aujourd’hui 75 %.
- Tata Steel a acheté Jaguar (Inde).
- les pays principaux qui reçoivent les capitaux sont les pays développés qui ont plus de la moitié des IDE. Amérique et l’Asie : 43 % (Chine une grande partie).
- Manque d’investissement en Afrique subsaharienne.
- Raisons investissement à l’étranger :
main d’oeuvre bon marché
se rapprocher des matières premières
main d’oeuvre qualifié
installer dans les pays du sud : entreprises dangereuse polluantes
profiter de la fiscalité plus avantageuse
trouver de nouveaux marchés de nouveaux clients
Capitaux qui cessent de circuler, de plus en plus mobiles.
Les places financières : émergences de nouvelles économies.
 

3) Les flux d’information

- Développement d’internet. Rapidité l’information.
500 millions utilisateurs en 2002.
1 milliard en 2010.
- fracture numérique : accès facile au pays du nord contrairement aux pays du sud.
- Les nouvelles sont véhiculées par les médias. Agence de presse nationale en internet.
Etats-Unis CNN



4) Autres types de flux

- le cinéma
- La télévision
-Monopole d’Hollywood. Mais maintenant Bollywood.
- flux illégaux : trafic d’arme, de drogue.
 


 


II. Les acteurs

A. Le rôle des Etats

1) Un rôle qui se réduit

- Désengagement de l’état
Pays d’Europe avec l’UE :
- abandonner une partie de leur souveraineté, en matière monétaire par exemple avec l’oscillation de la valeur de leur monnaie.
- abandonner d’appliquer des politiques protectionnistes
- abandonner de contrôler sur les entreprises avec la privatisation
- De moins en moins de pouvoir face à une entreprise.
 

2) un rôle qui n’est quand même pas négligeable

- contrôler les flux migratoires
- baisser la fiscalité pour attirer de nouvelles entreprises.
- Investir : construire des autoroutes, TGV ...
- signer des accords commerciaux avec d’autres pays.
- Stimuler les activités économiques par leurs commandes comme pour l’armement.
- chercher à limiter les mondialisations culturelles. En France il y a une exception culturelle avec des quotas de films de cinéma et de musique.
- mettre des contraintes sur la protection de l’environnement, des contraintes sanitaires qualité de production.
- Etat providence : aide les plus démunis.
- recul en Angleterre : les conservateurs et libéraux : les chômeurs doivent travailler au service de l’Etat pour toucher leur allocation familiale.
- Rôle pas négligeable pendant une crise financière puis économique. L’Etat est obligé d’intervenir pour aider les banques.
 

3) Les organisations inter-étatiques

a) Organisation internationale

- ONU :

Voir cours : L’ONU


Pas seulement une vocation de défendre (paix) mais également pour le développement. Siège social à New-York.
- FMI et Banque mondiale à Washington
- OMC à Genève
- Les organisations fixent la mondialisation.
Rôle de G20 : lieu, instance, principaux pays se réunissent pour redresser l’économie mondiale.
Avant G8 : élargissement par l’émergence de certains pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil. France a défendu cet élargissement.
- Les organisations contre le réchauffement climatique. Protocole de Kyoto par la conférence de Kyoto a débouché sur des résultats mitigés (échec). Les Etats-Unis n’ont pas accepté les accords. Le sud avait les mêmes obligations que le nord.
Conférence de Copenhague : Chine et Etats-Unis n’ont pas accepté : échec.
-fin novembre début décembre 2010 : Cancún.
- Gouvernance mondiale : les pays s’entendent de plus en plus, mais l’égoïsme national remporte. Les Etats-Unis ont refusé le protocole de Kyoto pour ne pas pénaliser ses entreprises nationales.

b) Organisations régionales

-croquis : entouré avec le nom à coté.
- ALENA : accord libre échange Amérique du sud.
ASEAN : association des nations Unis de l’Asie et du sud est.
MERCOSUR : marché commun de l’Amérique du sud.
UE : Union Européenne.
- favorise le commerce.
- replie régionale : mondialisation qui s’éclate à certaines régions. (Entorse à la mondialisation).

c) L’organisation de pays producteur

- l’OPEP : organisation des pays exportateurs de pétrole.
 

B. Les firmes internationales

FMN : firme multinationales ou FTN : firme transnationales.
 

1) Qui sont-elles ?

-Il faut avoir un chiffre d’affaire de plus de 500 millions.
Réaliser le quart des ces activités (production et échanges) dans 6 pays différents.
- Certains préfèrent parler de firmes transnationales que multinationales : les firmes sont ancrées dans leur pays d’origine.

- Exemple :
- Toyota : 1er constructeur automobile. Fait parti des 10ère firmes internationales.

Toute activité de recherche reste concentrée au Japon.
40 % de salarié sont japonais, comme pour les ventes.
Activité de plus en plus internationalisée : usines de production dans 26 Etats différents.
Présence dans tous le monde 160 pays différents.
Faible présence en Afrique et une partie de l’Asie.
260 milles salariés.

- Nike : peu de salarié : 18 000.
Utilise la sous traitante mais 550 000 personnes qui travaillent par sous-traitance.

Ordre des 5ere transnationales en 2010 :
- Wal-Mart (supermarché américain), Shell, BP, Toyota.

- Grandes entreprises transnationales sont principalement dans le Triade (UE, EU, Japon).
Aucune en Afrique.
 

2) Leur poids

- 532 firmes multinationales.
- 825 000 filiales à l’étranger.
- Réalisent 2/3 du commerce mondial.
- 75 millions de salarié employés par ces FTN.
- 100 premiers représentent 20 % du PIB mondiale.
- certains chiffres d’affaire sont supérieurs au PIB de certains pays :
Turquie 303 milliards et Wal-Mart : 316 milliards de dollars.
- Firmes font des arbitrages laissant les Etas impuissants par les délocalisations.
 

C. D’autres acteurs

1) Les diasporas

- Les diasporas sont des communautés originaires d’un pays qui ne se sont allées dans tous les pays (notamment le juifs, les chinois et les indiens).
- Les diasporas renvoient des capitaux, gardent des liens avec le pays d’origine. Elles génèrent donc des flux de capitaux mais aussi des flux de population.
- Chine : 5eme pays touristiques mais les chinois reviennent souvent en Chine (réseau de solidarité, parfois illégaux), ainsi les chiffres sont faussés.
- Elles contribuent aussi au flux de marchandises : leurs habitudes alimentaires ?
- participation culturelle : restaurant.
 

2) ONG : organisation non-gouvernementale

- Les ONG n’émanent pas forcément des gouvernements.
- Elles jouent un rôle dans la défense des populations les plus démunies, défavorisées dans le monde : la Croix-Rouge, médecin sans frontière, handicap international.
- intervient en cas de catastrophe humanitaire, pour les droits de l’homme (reporter sans frontière), pour la protection de l’environnement WWF, Greenpeace.
- Elles concentrent des dons pour apporter leurs aides.
- Birmanie : (cyclone) a interdit aux ONG d’intervenir : forme d’ingérence dans les affaires intérieures.
 

3) Encore d’autres

- mafia russe, italienne, japonaise.
- réseaux sociaux sur internet : facebook.
- réseaux en ligne sur certains jeux.
- participe à la création de lien entre personnes qui ne vivent pas dans le même pays. Participe à la mondialisation.
- Acteurs multiples qui interviennent à différentes échelles.
La répercutions des flux sur ces territoires.
 


 


III. Les territoires de la mondialisation

A. Les centres d’impulsion

1) La Triade

- Légende croquis : comme pour les 500 firmes transnationales : corresponds à une réalité. Pèse très lourd dans l’économie mondiale.
- Mais cette Triade est concurrencée. La part économique mondiale recule.
- On estime qu’elle représente les 2/3 des flux commerciaux, 80 % des flux de capitaux.
- Mais la Triade fait face à l’émergence de concurrents comme la Chine.
- Cependant la Triade n’est pas un ensemble soudé : les pays sont concurrents entre eux : les principaux conflits commerciaux se font entre les Etats-Unis, le Japon et l’Union Européenne.

1er Pôle : Etats-Unis (voir cours Etats Unis)
2eme Pôle : Japon (voir cours Japon)
3eme Pôle : Union européenne.

2) Les grandes métropoles mondiales

Métropole : ville principale d’un pays ou d’une région.
Forte influence (économique, culturelle, migratoire) sur un espace plus ou moins vaste. Concentre les pouvoirs.
Différents types : régionale, nationale, mondiale (ville monde : Londres, New York, Paris, Tokyo)
Concentre fonction de commandement international.
Mégapole : très grande agglomération, dont le seuil a été fixé à 8 millions, qui abritent des fonctions de commandement comme des centres de décision.
- Mégalopole : est une agglomération urbaine très importante comptant plusieurs millions d’habitants. C’est un ensemble de grandes villes proches reliées entre elles par un réseau de communication dense.
Dorsale européenne : espace rhénan
Japonaise : Tokyo, Osaka, Nagoya
Américaine : mégalopolis : de Boston à Washington (nord américaine)
Un rang inferieur : métropole des pays du sud (mais aussi développés)
Après les villes mondiales : liens : archipel métropolitain mondiale : Shanghai, Sao Paulo
Mondialisation qui passe par les villes
Croquis : placer grande métropoles : Rio, Mexico, Johannesburg, Sao Paulo, Sidney.
 

3) Les espaces dynamisés par les flux

- les littéraux : façades maritimes jouent un rôle clef dans la mondialisation.
Phénomène de littoralisation : concentration humaine et d’activités.
Zone franche pour les entreprises. Les plus grandes métropoles sont souvent sur les littéraux.
- façades maritime de l’Asie orientale : mégalopole japonaise, Corée du Sud, Chine, Taïwan jusqu’à Singapour.
- façade maritime nord de l’Europe : Northen Range : façade portuaire
Dunkerque -> Anvers, Rotterdam, Amsterdam, Hambourg
- Façade atlantique des Etats-Unis
- Façade pacifique des Etats-Unis : Seattle, San Francisco, Los Angeles.

Autres espace d’échange intense :
Espaces dynamiques surtout si espaces différents :
- Tenté d’être hermétique pour les flux migratoires : frontière Etats-Unis avec le Mexique (Mexamérica).
Les états du sud des Etats-Unis sont marqués par cette présence.
Coté Mexicain : maquiladoras : usines construites au Mexique par des sociétés américaines. Créer emplois.
Sont actuellement concurrencer par la Chine.



B. Les périphéries intégrées

1) Les pays développés en liens étroits avec la Triade

- Fabriquent : même flux que la Triade. Mais moins important (flux capitaux)
Australie, Nouvelle Zélande, Canada.
Sont géographiquement en périphérie.
- Nouveau pays industrialisés : autrefois pays du Sud mais maintenant pays du sud : Israël, les quatre dragons asiatiques : Corée du sud, Taïwan, Singapour et Hong Kong (mais aujourd’hui rattaché à la Chine).
 

2) Des nouveaux centres d’impulsions : les pays émergents

a) Les quatre : BRIC Brésil, Russie, Inde, Chine

Russie : pays émergents en économie.
Exportent des produits manufacturés, et des investissements de plus en plus.

b) Les puissances émergentes

- Mexique, Afrique du Sud, Turquie, Indonésie, NPI : nouveaux pays industrialisés.
- NPI A2 : asiatique de la deuxième génération. Bébé tigre : Vietnam, Philippine, Thaïlande, Malaisie.
 

3) Pays en transition

- Anciennement communiste : économie de marché.
- Attire les entreprises par la main d’oeuvre
- Exporte capitaux
- Flux migratoires en Europe.
 

4) Les pays pétroliers

- Pays de l’OPEP
- tirent de leur richesse de leurs exploitations du pétrole.
-Essai de jouer sur le prix du pétrole. Difficulté à se mettre d’accord sur les prix.
- Pas d’intérêt à ce que le pétrole flambe (car avec l’essor des énergies renouvelables)
- 12 pays de l’OPEP. Parfois pas toujours pays riche : Algérie.
 

C. Les pays en marge à nuancés

1) Les PED

- pays en développement : quand même des signes de développement lent qui creusent les écarts de richesse entre les habitants.
- s’appuyer sur le coût de la main d’oeuvre (Maroc)
- Peuvent développer l’industrie lourde (Algérie), hydrocarbures.
- Sont en voie d’intégration sans jouer un rôle majeur.
- Afrique du sud, Amérique du sud {Brésil}
 

2) Les PMA

- pays les moins avancés : pays d’Afrique subsaharienne (une cinquantaine), mais aussi en Asie : Cambodge, Népal, Bengladesh, Haïti.
- Sont à l’écart de la mondialisation.
- Très peu d’investissement (instabilité politique).
- Malheureusement : ces pays (pas tous) ont une situation qui se dégrade.
 

3) Les pays fermés

- Choix politiques : Birmanie, (dictature militaire), Corée du nord, Cuba.
- Somalie, Soudan marqués par la guerre.
- Iran : apparait comme une menace.
 

Conclusion :

Artificiel : mettre une étiquette sur un pays pour le représenter sur un croquis.
Inégalité face à la mondialisation. Limite de la mondialisation.



 


Accueil



 
 



Créer un site
Créer un site